C’est le 11 mars dernier que la mort de Hiromi Kamaté est annoncée à ses parents. Alors qu’il travaillait dans le domicile d’un officier supérieur de l’armée à Sebenicoro en commune IV du district de Bamako.
Ce décès brusque et dans les circonstances douteuses a poussé la communauté Bô à faire des autopsies sur le corps et à saisir la justice.
Reportage en Bomu, Vinabé DENA