La dissolution de l’AEEM par le gouvernement de la transition a suscité des réactions mitigées.
Alors que les militants de l’AEEM dénoncent une atteinte à l’histoire démocratique du pays et expriment des inquiétudes quant à la défense de leurs droits, les autorités justifient cette mesure comme un moyen de pacifier l’espace éducatif et de le recentrer sur l’apprentissage et le développement des connaissances.
Reportage : Latifatou DIARRA